Décret épiscopal
Projet officiel remis le 4 juillet 2003 par le doyen Lambert Malbrouck,
avis définitif du Vicaire général en date du 22 février 2004
Création de quatre unités pastorales :
1. l'unité pastorale de Fléron comprenant les cinq paroisses situées sur la commune de Fléron
2. l'unité pastorale de Beyne-Heusay comprenant les cinq paroisses de la commune de Beyne-Heusay et celle de Saive
3. l'unité pastorale de Soumagne comprenant trois paroisses (Fécher ; Ayeneux ; Soumagne) de la commune de Soumagne et les deux de la commune d'Olne
4. l'unité pastorale de Melen comprenant les quatre autres paroisses de la commune de Soumagne (Micheroux ; Cerexhe-Heuseux ; Melen ; Tignée-Evegnée) .
Décret épiscopal promulgué le 25 mars 2004 en la fête de l'Annonciation du Seigneur par Aloys Jousten, évêque de Liège
Entrée en vigueur au 1er juin 2004
Curé Charles-Antoine Strail
il fit des découvertes dans la famille si curieuse des orchidées ; il signala l'existence, dans les environs de Fonds de Forêt, de plantes rares, telles que l'orphrys mouche, l'orphrys abeille et la spirante, trois plantes que l'on retrouve dans la flore australienne. Pas content de la découverte, il en chercha le pourquoi qui fut admis par la faculté de botanique de l'Université. En effet, en descendant de Fléron vers Prayon, à l'entrée du village de Fonds de Forêt, se situent les ruines d'une usine qui, au 19ème siècle, portait le nom de « La Lainière » ; on y lavait les laines qui, à l'état brut, étaient importées d'Australie et d'Argentine avant de les expédier à Verviers ; ces laines importées contenaient des tas d'impuretés et notamment des graines et des semences. Soit par l'action du vent, soit par l'intermédiaire d'un oiseau, ces graines se répandirent sur un coteau bien déterminé dans un périmètre voisin de l'usine, où elles germèrent et fleurirent. Hélas, les hivers rigoureux de nos régions et les promeneurs peu scrupuleux eurent raison de ces plantes. L'abbé Strail publia un livre de botanique : « La flore de Chaudfontaine et de Magnée ». Il possédait aussi une très curieuse et rare collection de fossiles qu'il donna au comte de Looz, lequel la céda à l'Université de Liège.
Détails chapelle Magnée
« Le bâtiment se trouvait approximativement à l'emplacement de l'église actuelle, mais il était moins large et moins profond. Ses murs étaient constitués entièrement de pierres du pays. Deux travées formaient l'unique nef ; le chœur commençait avec la largeur de la nef et se rétrécissait ensuite.
Une ouverture était formée dans le milieu du mur du fond ; elle donnait accès à une modeste sacristie, de petite hauteur, réalisée dans l'axe de l'ensemble. La baie d'entrée, d'environ 1,50 m de large et de 2,50 m de hauteur, était garnie d'une porte en bois, à deux vantaux, et se trouvait dans le milieu de la façade principale ; deux marches, en pierre taillée, donnaient accès à l'intérieur.
A l'aplomb de cette porte était conditionnée une niche abritant une statuette et, légèrement au-dessus, un oculus éclairait le jubé.
Quatre baies d'environ 1,50 m de largeur et 2,50 m de hauteur commençaient à 2 m au-dessus du pavement et éclairaient abondamment la nef ; deux baies de même dimension étaient formées dans les parois latérales du chœur.
Les angles de la façade principale, de la jonction des façades latérales avec le chœur et de la paroi arrière de ce dernier étaient formés de pierres taillées disposées en harpe.
Les pieds-droits de la porte d'entrée et de chaque baie de fenêtre étaient également formés à l'aide de pierres taillées disposées en harpe.
La porte d'entrée et les baies de fenêtres étaient couronnées par différentes pierres taillées posées en anse de panier.
L'éclairage de la sacristie était assuré par deux fenêtres de dimensions modestes, quoique également pourtourées de pierres taillées.
Indépendamment des baies, les parois extérieures étaient constituées de pierres brutes, dénommées « moellons », posées à tas horizontaux.
Chaque baie de fenêtre de la nef, du chœur et de la sacristie était pourvue d'un canevas de fers solides, contenant des vitres de couleur, mises sous plomb, et formant de multiples losanges.
Un clocheton carré, dans l'axe de la nef, garnissait la façade principale, légèrement en retrait de cette dernière. Chaque côté mesurait approximativement 1,80 m de largeur sur 2,50 m de hauteur et possédait quatre abat-sons. Le volume ainsi formé était couronné par un toit débutant par quatre faces à pente normale et se terminant par huit pans à très forte pente. Le toit était terminé par la croix métallique reposant sur un globe en plomb.
La nef était couverte par deux versants de toiture, le chœur par trois et la sacristie par trois également. Une croix était plantée à la rencontre des versants de la nef et de ceux du chœur.
A la base de chaque versant, un chéneau demi-lune recevait les eaux et celles-ci se répandaient sur le chemin par le truchement de tuyaux de descente.
Toutes les parties de la toiture, y compris les versants et les côtés du clocheton étaient recouvertes d'ardoises posées à lignes horizontales. »
Julienne de Cornillon
Un site lui est consacré ! www.lapetitejulienne.be
"Dans notre diocèse de Liège, Julienne de Cornillon est une sainte très connue. Vous connaissez certainement la Fête-Dieu et la procession du Saint-Sacrement. Julienne a oeuvré pour que cette fête soit célébrée. Cela fait déjà très très longtemps. Ce site internet va vous raconter l´histoire de Julienne. Je suis toujours enchanté de voir comment le bon Dieu fait de grandes oeuvres avec l´appui de personnes petites et simples. Vous allez vous étonner de voir comment on en est arrivé à célébrer la Fête-Dieu. Ainsi, je vous souhaite bien du plaisir à regarder les images colorées et joyeuses du livre et de ce site internet ainsi que de lire ses beaux textes.
La première procession du Saint-Sacrement pour la Fête-Dieu a eu lieu à Cologne. Ainsi, Liège en Belgique et Cologne en Allemagne sont deux villes distantes de 100 kilomètres dans lesquelles la présence de Jésus dans le Pain Consacré est particulièrement célébrée."
Aloys Jousten
Les Oeuvres de la paroisse Saint-Denis en 1950
Les Oeuvres de la paroisse Saint-Denis en 1950 (Année Sainte sous Pie XII)
Clergé de l'époque : Abbé G. Lorphèvre (curé) et Abbé A. Halleux (vicaire)
1. Les oeuvres de culte :
Fabrique d'église
Chorale Saint-Denis
Ligue du Sacré Coeur (communion le premier dimanche du mois)
Confrérie de Saint-Hubert et de la Sainte Vierge
Groupe des acolytes
2. Les oeuvres d'éducation :
Institut Sainte-Julienne, 10, rue du Bac
Ecole primaire, filles et garçons
Quatrième degré professionnel, filles
Ecole d'apprentissage, jeunes filles
deux écoles gardiennes, rue du Bac et Gare
3. Les oeuvres d'Action Catholique :
des hommes, Comité de Bonne Presse
des femmes, Ligue des femmes catholiques
des jeunes gens, J.O.C. et Coeurs Ardents
des enfants, "Coeurs Joyeux" Croisade Eucharistique et "Joyeuses"
4. Les oeuvres de Charité :
Société de Saint Vincent de Paul
5. Les oeuvres sociales :
Mutuelle Saint Lambert
Société Mutualiste de Retraite (Pension de Vieillesse)
6. Les oeuvres de délassement :
Cercle Saint-Louis, Cinélux
Bibliothèque paroissiale au Cercle
Saint-Louis Ping-pong Club
Jeunesse sportive (football)
Travaux dans l'église de Retinne
La nef comme vous ne l'avez jamais vue
Un type de peintures redécouvertes
Mais qui a chipé l'orgue ?
L'état des tuffeaux avant la restauration
L'état des tuffeaux après la restauration
Secrétariat d'Unité Pastorale
Pour tous les documents concernant les baptêmes, mariages et autres sacrements, pour toutes les demandes d'information sur les paroisses de Fléron St-Denis & Ste Famille (4620), Retinne (Ste Julienne)(4621), Magnée St-Antoine (4623), Romsée Notre-Dame (4624), Bouny (paroisse fusionnée avec Romsée), adressez-vous à :
Secrétariat de l'Unité Pastorale du Fléronnais
Rue de l'église 22
BE 4620 FLERON
+32 (0)4 358 30 21
courriel@upfleron.be