Apolline d'Alexandrie

Sainte Apolline, ou Apollonie, est morte à Alexandrie (Égypte) en 249 et fêtée le 9 février.
Le récit du martyre d'Apolline est tiré d'une lettre de Denys, évêque d'Alexandrie (mort en 265), à Fabien, évêque d'Antioche.
En 250, l'empereur Dèce promulgua un édit obligeant tous les citoyens à sacrifier aux dieux pour la sauvegarde de l'Empire, sous peine de mort, édit qui marque le début d'une nouvelle période de persécution contre les chrétiens.
À Alexandrie comme ailleurs, les païens purent impunément donner la chasse aux chrétiens et les tuer comme ils voulaient. Les autorités laissaient faire, et même approuvaient.
Ce jour-là, les voyous de la ville se saisirent d'un vieillard, nommé Métras, exigeant qu'il blasphémât le nom du Christ. Comme il s'y refusait, ils le rouèrent de coups, lui enfoncèrent des roseaux pointus dans les joues et dans les yeux, puis ils l'entraînèrent hors de la ville, où ils le lapidèrent avec joie.
Leur choix se porta ensuite sur une chrétienne nommée Quinta, qu'ils menèrent au temple, lui enjoignant d'adorer les dieux. Comme elle détournait la tête avec dégoût, ils lui lièrent les pieds et la traînèrent sur le dos jusqu'au lieu où avait péri Métras ; et ils l'y lapidèrent avec le même plaisir.
Apolline, leur troisième victime, leur inspira d'autres fantaisies. Elle n'était plus jeune et faisait partie d'un groupe de vierges consacrées. Après lui avoir fracassé la mâchoire et brisé toutes les dents, ils la mirent devant un bûcher, menaçant de l'y jeter, si elle ne répétait pas des injures au Christ après eux. Elle s'excusa poliment de ne pouvoir leur donner satisfaction ; puis, profitant de leur distraction, « plus prompte que ses bourreaux », dit saint Augustin dans un sermon, elle courut se jeter dans les flammes.

• On la représente souvent avec une paire de tenailles, et parfois les dents qui lui furent arrachées, ainsi qu'avec la palme du martyre.

• Elle est la patronne des dentistes et est invoquée contre les maux de dents.

• Elle est fêtée le 9 février

Source : Omer Englebert, La Fleur des Saints ou Vie des Saints pour chaque jour de l'année, Albin Michel, 1980

En route vers la Noël

Découvrir le Prince de la Paix et le célébrer, voilà le programme auquel les dominicains nous convient pour l’Avent. Les méditations quotidiennes et gratuites sont accessibles dès le 29 novembre, avec un bonus la semaine précédente.

Pour interpeller les croyants et les passants, les inciter à cheminer autrement vers la fête de Noël, les dominicains ont conçu une délicieuse vidéo, qui met en scène Eloi et sa cousine. C’est autour du passage d’Isaïe (9-5), « Il vient le Prince de la Paix », que s’articule, cette année, la préparation des cœurs. Tour à tour, la thématique de la paix sera déclinée dans le versant familial, communautaire et paroissial, citoyen et individuel. Il s’agira de devenir, à son tour et de manière pratique, acteur de paix.

Inondations

INONDATIONS

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Votre soutien couvrira principalement des dégâts non assurés ou des frais exceptionnels de transport et logistique.
À moyen et à plus long terme, nous mobiliserons nos équipes, nos moyens et nos réseaux pour soutenir durablement les associations locales qui travaillent avec des personnes vulnérables dans les régions les plus affectées par les inondations
Tout don, petit ou grand, est vital. Chaque geste aura un impact sur le terrain.
Tout don de 40 € et plus vous donne droit à une réduction fiscale à hauteur de 45 %. Une attestation fiscale vous sera envoyée en mars 2022.
Merci d'avance pour votre solidarité.
dons@vivre-ensemble.be ou 02.227.66.80.

Fidesco

Peut-être avez-vous déjà entendu parler de Fidesco ? Fidesco, une ONG qui envoie des volontaires dans des pays du Sud. Fidesco, la foi au service de la coopération. À la demande des Églises locales ? Mais qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire ?
Fidesco est une organisation catholique de solidarité internationale basée en France, avec des bureaux en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne, au Portugal, en Pologne et aux USA.
En 1980 a eu lieu un synode sur la famille à Rome. Lors ce synode, des évêques d’Afrique ont rencontré des jeunes actifs autant au niveau de leur foi que dans le monde. Touchés par cette rencontre, ces évêques ont demandé à la Communauté de l’Emmanuel d’envoyer des volontaires dans leur pays. C’est donc en 1981, que les premiers volontaires de Fidesco partaient en ex-Zaïre. Depuis, chaque année Fidesco envoie des volontaires.
Et comme ce fut déjà le cas en 1981, c’est toujours quelqu’un de l’Eglise locale qui appelle les volontaires. Fidesco ne s’impose pas, elle répond à une demande à un niveau professionnel mais également spirituel. Ainsi les volontaires apportent leurs compétences professionnelles et sont missionnaires tant sur leur lieu de travail et que sur leur lieu de vie.
Cette année, malgré le Covid, 87 volontaires ont été envoyés en mission pour 2 ans (parfois un an). Ce sont des jeunes ou moins jeunes, des célibataires, des couples et des familles qui ont décidé de partir pour répondre à l’appel du pape François qui exhortait les jeunes à quitter leur divan et chausser des crampons pour changer le monde. Ils sont donc partis comme infirmiers, éducateurs, gestionnaires de projet, professeurs, ... en Afrique, Asie, Moyen-Orient et Amérique Latine. S’ils partent en mission, c’est bien sûr pour travailler auprès de populations pauvres, mais également pour témoigner de l’amour de Dieu. Ce qu’ils font par leur vie simple et en étant proche de la population locale.
L’esprit de Fidesco, c’est de vivre sa mission en serviteur, humblement, en prenant le temps de s’imprégner de la culture et d’essayer de la comprendre. On ne vient pas changer le monde en arrivant en conquérant et en espérant tout révolutionner par notre seule présence et charisme mais en se faisant petit et en aimant son prochain. Il est parfois difficile, en fin de mission, de voir les fruits de cette mission mais par la présence des volontaires, par leur écoute et leur joie, beaucoup de graines auront été semées, qui germeront tant dans le cœur des personnes rencontrées dans le pays de mission que dans celui des volontaires rentrés au pays.
Si vous souhaitez soutenir nos volontaires belges ou avoir plus d’informations sur nos missions, n’hésitez pas à venir faire un tour sur notre site Internet : www.fidesco-international.org

Prière en faisant ma crèche

En ce début de l'Avent...

J'ai demandé à l'âne de me donner la force de porter mes soucis et les inquiétudes de mes amis, tous ces ennuis qui pèsent sur mes épaules.

J'ai demandé au bœuf de me procurer sa chaleur pour que je puisse me réchauffer à son souffle des rigueurs de l'hiver et me consoler des séparations créées par le confinement.

J'ai demandé au mouton de ne pas être un mouton de Panurge qui suit bêtement le troupeau, mais un fidèle du Bon Berger qui guide vers les verts pâturages; un mouton qui se méfie du faux berger, de l'imposteur et du facteur de fausses nouvelles.

J'ai demandé au berger de m'apprendre à lire dans la nuit le message des étoiles qui m'indique comment garder le cap de l'Espérance et suivre la route de la vraie Joie, de la seule Joie.

J'ai demandé à Joseph de me garder d'éclater en colère quand les choses ne vont pas dans mon sens, et de m'aider à ce que je me laisse plutôt garder par le silence de la patience et de la paix.

J'ai demandé à Marie de me pourvoir du courage de la nuance quand je juge les autres et les événements. Elle qui ne comprit pas toujours les agissements de son Fils, qu'elle m'instruise de sa sagesse consistant à faire la part des choses sans perdre de vue l'essentiel et en faisant confiance.

J'ai demandé à la mangeoire encore vide de me recueillir tel que je suis, pauvre, nu et désarmé face au cosmos et au grand mystère de l'homme.

Michel Cool-Tadel
(un ami Facebook)

Bel Avent !

UKRAINE

Bonjour Jean,
La situation en Ukraine est terrifiante. Les Ukrainien·nes vivent depuis jeudi matin au son des tirs de missiles russes qui frappent la population civile aveuglément. Beaucoup risquent d’être tué·es, blessé·es, emprisonné·es.
Nous sommes particulièrement inquiet·es pour nos collègues ukrainien·nes avec qui nous tentons de garder le contact. Ce vendredi, l’une d’elle témoignait :
" Là, je vous parle d’un appartement que j’ai pu rejoindre fort éloigné de Kiev... Mais aucune place n’est vraiment protégée. Personne dans notre équipe n’a été blessé, mais nous sommes tous et toutes éparpillé·es dans des endroits différents... bien souvent dans des abris ou des caves.
Nous avions imaginé bien sur des plans de secours, mais jamais nous n’aurions imaginé cela.
Maintenant, nous devons quitter le pays. La situation pour chacun d’entre nous est dangereuse ; nous craignons que les Russes nous recherchent et éliminent tous celles et ceux qui les ont critiqués.
Votre soutien nous permet de garder la tête hors de l’eau. Et nous savons que si nous quittons le pays, nous serons aidés par les sections d’Amnesty. Mais... excusez-moi, les bombardements ont repris, je dois aller à la cave ".
On ne saurait trop insister sur la gravité de la situation. Des dizaines de milliers de personnes sont désormais contraintes de quitter leur foyer. Ces déplacements massifs vont provoquer une crise des réfugié·es qui viendra s'ajouter à la catastrophe à laquelle nous assistons actuellement.
À l’heure actuelle, nous avons urgemment besoin de votre soutien pour :
• Financer notre Fond d’Urgence permettant notamment d’évacuer les défenseur·es des droits humains, les journalistes et nos collègues d’Amnesty, actuellement en grand danger.
• Documenter les violations des droits humains qui sont et seront commises, notamment grâce à l’analyse satellite d’images des zones de conflit.
• Faire pression sur l'Union Européenne pour que les droits des réfugié·es soient garantis.
JE FAIS UN DON D'URGENCE
Toutes nos pensées sont avec les Ukrainiennes et les Ukrainiens.
Les jours à venir seront extrêmement importants. Dans des situations d’urgence comme celle-ci, nous avons plus que jamais besoin de votre soutien pour lutter contre les atteintes aux droits humains et protéger les personnes susceptibles d’être ciblées.
Vous êtes la colonne vertébrale du mouvement ; et cela n’a jamais été aussi vrai en ces temps inédits.
Merci de vous engager à nos côtés dans des situations d’urgence comme celle que nous vivons actuellement.

Philippe Hensmans
Directeur Amnesty International Belgique francophone

Si vous souhaitez aider la population ukrainienne, vos dons via CARITAS INTERNATIONAL peuvent être versés sur le compte BE 88 0000 0000 4141 avec la communication : 4147 Ukraine.

UKRAINE_DONS

Si vous souhaitez verser un don de solidarité avec la POPULATION UKRAINIENNE, via CARITAS INTERNATIONAL : compte BE 88 0000 0000 4141 avec la communication : 4147 Ukraine.

DU NEUF DANS LE CLERGÉ

Deux nominations ont été annoncées officiellement aux célébrations de Pentecôte. Elles entreront en vigueur le 1er septembre :

Unité Pastorale de BEYNE-HEUSAY :

L'abbé Ghislain KATAMBWA est déchargé de sa mission de curé des paroisses de Beyne, Heusay, Moulins-sous-Fléron, Bellaire, Saive, Queue-du-Bois. Il est nommé vicaire pour l'UP de Alleur-Awans. Il résidera à Fooz. Il entamera des études.

L'abbé Denis RUNEZERWA est déchargé de sa mission de vicaire de l'UP d'Alleur-Awans. Il est nommé administrateur paroissial des paroisses de Beyne, Heusay, Moulins-sous-Fléron, Bellaire, Saive, Queue-du-Bois. Il résidera à Heusay. Âgé de 55 ans, originaire de l'Est du Congo, l'abbé RUNEZERWA a servi quelques années en Italie, puis plusieurs années à Pépinster, et enfin plusieurs années à Alleur-Awans. Le titre "administrateur paroissial" est une nuance canonique ; ses responsabilités sont les mêmes que celles d'un curé.

Unité Pastorale de SOUMAGNE-OLNE-MELEN :

L'abbé Janvier GAHONZIRE est déchargé de sa mission de vicaire de l'UP de Soumagne-Olne-Melen. Il est nommé vicaire de l'UP du Condroz.

L'abbé Tharcisse SAMBOY est déchargé de sa mission de vicaire de l'UP du Condroz. Il est nommé vicaire de l'UP de Soumagne-Olne-Melen. Il résidera à Soumagne. Il est originaire du Congo.

Pas de changement pour le curé Yves KEUMENY, et pour le prêtre auxiliaire Louis HOUSSA.

Eglise St Lambert de Soumagne : Portes ouvertes

Située en bordure du pays de Herve, à mi chemin entre Liège et Verviers, l’église St Lambert de Soumagne ouvre ses portes aux visiteurs, durant l’été. Une équipe de bénévoles les accueille durant les mois de juillet et août et chaque année, ils sont nombreux.

Ils vous invitent à les rencontrer tous les jours, dimanches compris de 15 à 17h du 1er juillet au 31 août. La visite est gratuite et est aussi ouverte aux groupes.

En 1204, les Prémontrés de Liège reçoivent du Chevalier W. de Fécher l’église de Soumagne. Cette église serait une église primitive datant vraisemblablement du début du Xe siècle. Quant à l’édifice actuel, il est bâti en 1686.

L’église St Lambert de Soumagne, dont le tricentenaire a été fêté en 1986, est un bâtiment de toute beauté. Ses proportions sont bien calculées. Il est flanqué d’une tour carrée, couronnée d’une flèche octogonale. L’intérieur très bien meublé est caractérisé par ses plafonds à panneaux, ornés des blasons des donateurs et d’images de saints. C’est là une source merveilleuse pour l’histoire des familles du Pays de Herve.

Venez aussi admirer la magnifique allée de dalles noires et blanches et la belle ordonnance des bancs uniformes de la nef centrale, ses boiseries, le magnifique lutrin, les confessionnaux du style Louis VIII...

Visitez attentivement l’église de Soumagne, rue Pierre Curie, 4630 Soumagne, découvrez l’art sacré, vivez un moment d’intériorité, qui nous rapproche de Celui qui harmonise les formes, les couleurs, les expressions pour nous attirer vers lui.

Info : Bernadette Guillaume bernadette.guillaume@belgacom.net - 04/377 29 69

www.upsoumagne-olne.be

Bonne visite.

L’équipe de bénévoles.

LES 14-25 ANS à TAIZÉ : UNE OCCASION INOUBLIABLE à SAISIR !

Chaque année, durant le congé de carnaval, le groupe des jeunes ASSISE 82 part six jours durant à la découverte d'un lieu et d'un personnage importants pour les croyants. Tous sans exception reviennent toujours gonflés à bloc de ce moment inoubliable d'amitié, de fous rires et d'intériorité ! En février 2023, ils découvriront un petit village de Bourgogne devenu depuis plus de 50 ans le carrefour international des jeunes en quête de rencontres, de sens et de spiritualité.

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